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Bilan de l'enneigement en montagne au 30 décembre

Les chutes de neige sont particulièrement importantes depuis un mois sur la totalité des massifs. Une couche de neige notable et particulièrement bénéfique pour les stations de sport d'hiver, en pleine période de fêtes de fin d'année. Voici le bilan de l'enneigement au 30 décembre :

ALPES DU NORD :

L'enneigement se montre supérieur à la normale sur la plupart des massifs des Alpes du Nord, et ceux à toutes les altitudes. Hormis en Haute-Tarentaise, Vanoise et Haute-Maurienne, le couche dépasse partout le mètre en moyenne en versant Nord dès 1500m d'altitude. L'épaisseur est souvent comprise entre 1m50 et 2m vers les 2000m d'altitude, et atteint les 2m70 à 2m80 dès 2500m sur le massif de Belledonne et du Mont-Blanc. Seule la Haute-Maurienne reste véritablement en retrait, même si la couche reste bien acceptable (1m30 à 2500m). Image d'illustration pour Bilan de l'enneigement en montagne au 30 décembre

ALPES DU SUD :

La également, l'enneigement est plus que correct puisque nettement supérieur à la norme d'une fin décembre sur les Alpes du Sud. En versant Nord à 1500m d'altitude, l'enneigement dépasse le mètre du côté du Thabord, Pelvoux, Champsaur et Dévoluy. Avec une influence Méditeranéenne plus omniprésente, cette couche est moins importante sur le Mercantour et le Haut-Verdon aux altitudes les plus basses (40 à 50cm dès 1500m d'altitude). Un enneigement excellent aux plus hautes altitudes, souvent comprises entre 1m50 et 2m en moyenne à 2500m d'altitude. Un manteau légèrement en retrait du côté du Queyras, mais atteignant tout de même 1m30 à 2500m.

Image d'illustration pour Bilan de l'enneigement en montagne au 30 décembre

PYRENEES :

Le manteau neigeux se montre assez correct sur les Pyrénées. Avec des premières traces se situant autour de 1000m d'altitude, il faut tout de même monter autour de 1800m pour trouver plus d'un mètre de neige en moyenne en versant Nord. Une couche de neige qui se montre en net excédent sur la partie centrale des Pyrénées (Couserans, Orlu, Haute-Ariège) où l'on observe souvent plus de 2m au dessus de 2500m d'altitude. Sur la partie occidentale, le manteau est moins épais mais reste très acceptable (1m10 à 2000m d'altitude, 1m40 à 2500m d'altitude). Seule la partie orientale (Cerdagne, Canigou, Capcir) reste véritablement en retrait, avec des précipitations bien moins importantes depuis le début de la saison.

Image d'illustration pour Bilan de l'enneigement en montagne au 30 décembre

 

JURA / VOSGES  / MASSIF CENTRAL / CORSE :

Dans le Jura, l'enneigement est très bon avec des premières traces autour de 500m d'altitude. Vers 1300m d'altitude, le manteau neigeux est d'ailleurs compris entre 1m20 et 1m40, soit un enneigement supérieur à la normale d'une fin décembre.  À 800 m, il y a 40 cm à 50 cm de neige dans le secteur du ballon d'Alsace, 20 à 30 cm sur le reste du massif. À 1000 m, l'épaisseur de neige est partout voisine de 80 cm dans les pentes nord, 60 cm dans les pentes sud. À 1200 m, elle atteint 90 cm à 1 m en versant nord, 80 cm en versant sud.

Du côté des Vosges, l'enneigement se montre similaire avec des premières traces entre 500 et 600m d'altitude, ainsi qu'une couche atteignant 1m20 en moyenne sur les pentes eb versant Nord vers 1200m d'altitude.

Même situation pour le Massif central avec des valeurs au-dessus des normales pour cette époque de l'année. Une couche de neige débutant vers 700/800m d'altitude, dépassant les 20cm en versant Nord en moyenne à 1000m d'altitude, et dépassant localement le mètre à 1500m d'altitude sur les Monts du Cantal.
 

Enfin, pour la Corse, cet enneigement se montre correct, voire au dessus des normes aux plus hautes altitudes. Des traces à noter dès 1100/1200m, et dépassant d'une manière générale le mètre sur l'ensemble des massifs autour de 1700/1800m.

 

Image d'illustration pour Bilan de l'enneigement en montagne au 30 décembre

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Photo de Guillaume SECHETHistoire du site Météo Bruxelles

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Notre ville de BRUXELLES

 

Bruxelles est la capitale de la Belgique, de la Communauté flamande, de la Communauté française de Belgique et de la région de Bruxelles-Capitale. C’est aussi le siège de la plupart des institutions de l’Union Européenne (Bruxelles est donc considérée comme la capitale de l’Union), ainsi que de nombreuses organisations internationales, dont l’OTAN.

Sa superficie est de 161 km² pour une altitude de 62 m.

Sa population est d’environ 1.200.000 habitants

 

Le climat de Bruxelles est océanique dominant avec quelques influences continentales. Il pleut en moyenne 130 jours / an avec un cumul de 818 mm et un ensoleillement annuel moyen est de 1684 h.

 

L'histoire de Bruxelles : Notre ville voit le jour au 11è siècle, construite par les Ducs de Brabant. En se développant, la ville devient en 1100, une étape incontournable pour se rendre à Cologne ou à Bruges. Elle est alors agrémentée de faubourgs, de quartiers pour installer tous les artisans de la ville. Bruxelles devient par la suite une ville gouvernée par le Duc Philippe de St Pol, puis par Philippe le Bon qui décide lors de son règne, d’en faire son lieu de résidence. Bruxelles connait un essor économique. Les métiers de luxe et notamment l’orfèvrerie, les métiers du cuir et de la décoration se développent. Sous les Habsbourg et Philippe II, la ville ne perd pas de sa notoriété, mais l’arrivée des Espagnols en 1568 ne ravit pas les habitants de la ville qui se révoltent. Bruxelles devient dès 1695, un champ de Bataille au cours des Guerres menées par Louis XIV. Petit à petit, elle se reconstruit. Des monuments viennent embellir la ville, qui entre 1815 et 1830, devient le lieu de prédilection du Roi des Pays-Bas. La Révolution éclate cette même année et permet à la Belgique de devenir Indépendante. Des travaux de restaurations et de transformations sont entrepris au 20ème siècle. Mais au cours de la Seconde Guerre mondiale, Bruxelles est bombardée et assiégée par les troupes allemandes. Elle n’est libérée qu’en 1944 par les Anglais, mais continue d’être la cible des bombes volantes de l’Allemagne jusqu’en 1945. La ville s’en sort grandie. En 1958, elle accueille ''l’Exposition internationale et universelle'', entre dans l’Union Européenne et adhère à l’OTAN, en 1967. En 1970, la région flamande, la région wallonne et la région Bruxelles-capitale sont créées. Chacune ayant son propre gouvernement. Bruxelles, contrairement à ses voisines, reste une ville bilingue.

 

Les principaux centres d’intérêt de Bruxelles sont :La Grand-Place, les Galeries royales Saint-Hubert, les Galeries Agora et Bortier, le Passage du Nord, l’Eglise Sainte-Catherine, le Sablon (quartier des antiquaires), le Palais des Beaux-Arts, la Basilique du Sacré-Cœur à Koekelberg, la porte de Hal, sans oublier le célèbre Manneken-pis.