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Neige / Avalanche / Pluie verglaçante

Enneigement sur les Alpes et les Pyrénées à la mi-janvier

Nous vous proposons régulièrement un point sur l'enneigement naturel des Pyrénées et des Alpes. Cette synthèse évoque la situation globale au 17 janvier. Une situation qui ne s'améliore pas du côté des Pyrénées, et des écarts de plus en plus importants entre le Nord et le Sud des Alpes.

 

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De faibles chutes de neige ont concerné l'Ouest des Pyrénées ce jeudi (quelques centimètres), permettant un saupoudrage dès 1200/1300m. Mais toujours insuffisant pour combler l'important manque : ceci est le pire enneigement observé à cette épisode l'année depuis 1990.

Sur les Pyrénées centrales et orientales, les quelques chutes de neige de la semaine passée ont même été compensées par la douceur de mardi et mercredi (isotherme 0° remontant au delà des 3000m d'altitude). Résultat, pas de neige en dessous de 1500m en moyenne, et même au delà de 2000m sur les versants sud ensoleillés entre Andorre, Capcir, Cerdagne et Canigou.

Dans le meilleur des cas, la couche de neige atteint les 50 à 70cm sur la partie centrale des Pyrénées à 2500m d'altitude sur les versants abrités.

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Enneigement dans la station de La Mongie - Col du Tourmalet (Hautes-Pyrénées) le 18 janvier 2019 - Skaping

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Enneigement dans la station de Peyragudes (Hautes-Pyrénées / Haute-Garonne) le 18 janvier 2019 - Skaping

 

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Quelques flocons anecdotiques ont été observés ce jeudi sur les Hautes-Alpes. Mais plus globalement, aucune chute de neige significative n'est à noter depuis 4 semaines sur les Alpes du Sud (21 décembre dernier). Si la semaine précédente a été plutôt froide, ces derniers jours ont été marqués par le retour d'une relative douceur (isotherme remontant au delà de 2500m dimanche, mardi et mercredi, avec pointes à 3000m).

De ce fait, l'enneigement déjà bien faible a continué à se réduire d'environ 10cm en une semaine en deçà de 2500m d'altitude. Les conditions de ski y sont assez médiocre avec des premières traces de neige que l'on retrouve entre 1200 et 1500m en moyenne sur les pentes abritées en face nord. Les versants ensoleillés sont même dégarnis jusqu'à des hautes altitudes pouvant atteindre 2000m.

En cette mi-janvier, il faut monter sur les hauts de domaines pour retrouver un enneigement que l'on peut considérer comme «moins problématique», avec 70/90cm en moyenne dès 2500m en versant nord.

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Enneigement en station des Orres (Hautes-Alpes) - 18 janvier 2019 - Skaping

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Enneigement en station de Risoul (Hautes-Alpes) - 18 janvier 2019 - Skaping

 

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La partie septentrionale des Alpes parvient à s'en sortir avec un enneigement plus respectable. Les chutes de neige ont été importantes la semaine dernière sur les Alpes frontalières Savoyardes (plusieurs dizaines de centimètres). Sur l'Isère, cette neige additionnelle a fondue partiellement aux moyennes altitudes à la faveur d'une petite douceur en début de semaine (température positive au dessus de 2000m entre mardi et mercredi). Mais ce jeudi, quelques centimètres supplémentaires se sont ajoutés sur l'ensemble des massifs, avec un isotherme chutant à 600/700m seulement.

D'une manière générale, l'enneigement se montre légèrement déficitaire à moyenne altitude, mais correct aux hautes altitudes (2000 / 2500m), dépassant parfois les 2m d'accumulation sur le massif de Belledonne à 2500m.

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Enneigement dans la station de Meribel (Savoie) - 18 janvier 2019 - Skaping

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Enneigement dans la station de l'Alpe d'Huez (Isère) - 18 janvier 2019 - Skaping

 

PREVISIONS :

Quelques chutes de neige assez faibles sont attendues entre dimanche et lundi sur le Jura, Massif-Central et Pyrénées. Mais le véritable chamboulement devrait avoir lieu dès la 2e partie de mardi, avec le démarrage d'une période encore plus froide et surtout beaucoup plus humide. L'ensemble des massifs seront concernés par des chutes de neige plus ou moins fortes, et à toutes les altitudes.

La très bonne nouvelle viendra des Pyrénées, où un blocage devrait se mettre en place : à partir de mardi, les chutes de neige seront continues et surtout particulièrement abondantes. D'ici le week-end prochain, certaines modélisations évoquent jusqu'à 2 mètres de neige fraiche, de quoi rattraper l'immense déficit du début d'hiver, et lancer définitivement la saison !

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Quantités de neige attendues jusqu'au vendredi 25 janvier inclus - Skipass

Informez-vous sur le risque d'avalanche via Prévention Hiver".

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Source des schémas par massif : Météo-France.
Synthèses précédentes : 4 janvier, 27 décembre, 20 décembre, 5 décembre, 29 novembre.

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Photo de Guillaume SECHETHistoire du site Météo Bruxelles

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Notre ville de BRUXELLES

 

Bruxelles est la capitale de la Belgique, de la Communauté flamande, de la Communauté française de Belgique et de la région de Bruxelles-Capitale. C’est aussi le siège de la plupart des institutions de l’Union Européenne (Bruxelles est donc considérée comme la capitale de l’Union), ainsi que de nombreuses organisations internationales, dont l’OTAN.

Sa superficie est de 161 km² pour une altitude de 62 m.

Sa population est d’environ 1.200.000 habitants

 

Le climat de Bruxelles est océanique dominant avec quelques influences continentales. Il pleut en moyenne 130 jours / an avec un cumul de 818 mm et un ensoleillement annuel moyen est de 1684 h.

 

L'histoire de Bruxelles : Notre ville voit le jour au 11è siècle, construite par les Ducs de Brabant. En se développant, la ville devient en 1100, une étape incontournable pour se rendre à Cologne ou à Bruges. Elle est alors agrémentée de faubourgs, de quartiers pour installer tous les artisans de la ville. Bruxelles devient par la suite une ville gouvernée par le Duc Philippe de St Pol, puis par Philippe le Bon qui décide lors de son règne, d’en faire son lieu de résidence. Bruxelles connait un essor économique. Les métiers de luxe et notamment l’orfèvrerie, les métiers du cuir et de la décoration se développent. Sous les Habsbourg et Philippe II, la ville ne perd pas de sa notoriété, mais l’arrivée des Espagnols en 1568 ne ravit pas les habitants de la ville qui se révoltent. Bruxelles devient dès 1695, un champ de Bataille au cours des Guerres menées par Louis XIV. Petit à petit, elle se reconstruit. Des monuments viennent embellir la ville, qui entre 1815 et 1830, devient le lieu de prédilection du Roi des Pays-Bas. La Révolution éclate cette même année et permet à la Belgique de devenir Indépendante. Des travaux de restaurations et de transformations sont entrepris au 20ème siècle. Mais au cours de la Seconde Guerre mondiale, Bruxelles est bombardée et assiégée par les troupes allemandes. Elle n’est libérée qu’en 1944 par les Anglais, mais continue d’être la cible des bombes volantes de l’Allemagne jusqu’en 1945. La ville s’en sort grandie. En 1958, elle accueille ''l’Exposition internationale et universelle'', entre dans l’Union Européenne et adhère à l’OTAN, en 1967. En 1970, la région flamande, la région wallonne et la région Bruxelles-capitale sont créées. Chacune ayant son propre gouvernement. Bruxelles, contrairement à ses voisines, reste une ville bilingue.

 

Les principaux centres d’intérêt de Bruxelles sont :La Grand-Place, les Galeries royales Saint-Hubert, les Galeries Agora et Bortier, le Passage du Nord, l’Eglise Sainte-Catherine, le Sablon (quartier des antiquaires), le Palais des Beaux-Arts, la Basilique du Sacré-Cœur à Koekelberg, la porte de Hal, sans oublier le célèbre Manneken-pis.