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Mortalité et pertes économiques dues aux phénomènes météorologiques

Les catastrophes liées au temps, au climat et à l’eau, qui font des victimes et retardent le développement économique et social sont en hausse dans le monde entier. Selon l’Atlas de la mortalité et des pertes économiques dues aux phénomènes météorologiques, climatiques et hydrologiques extrêmes qui vient de paraître, de 1970 à 2012, 8835catastrophes, 1,94 million de victimes et 2,4 billions de dollars de pertes économiques ont été attribuées, à l’échelle mondiale, à des phénomènes tels que la sécheresse, les températures extrêmes, les crues, les cyclones tropicaux et leur cortège d’épidémies.

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Afrique :
 
1 319 catastrophes signalées -  698 380 victimes - pertes de 26,6 milliards de dollars.
De tous les phénomènes, les crues ont été le plus courant (61%), mais la sécheresse a été le plus meurtrier. Les graves sécheresses qui ont sévi en Éthiopie en 1975 et au Mozambique et au Soudan en 1983 et 1984 ont été à l’origine de la majorité des décès. Les tempêtes et les crues ont toutefois causé les pertes économiques les plus importantes (79 %).

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Asie :
 
2 681 catastrophes signalées - 915 389 victimes - pertes de 789,8 milliards de dollars.
La plupart de ces catastrophes étaient dues à des crues (45%) et à des tempêtes (35%). Ces dernières ont été les plus meurtrières (76% des victimes), alors que les pertes économiques les plus importantes étaient imputables aux crues (60%). Les phénomènes les plus marquants ont été trois cyclones tropicaux qui ont frappé le Bangladesh et le Myanmar, faisant plus de 500 000 victimes. Les pertes économiques les plus importantes étaient principalement dues aux catastrophes dont a été victime la Chine, notamment les inondations de 1998.

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Amérique du Sud :
 
696 catastrophes signalées - 54 995 victimes - pertes de 71,8 milliards de dollars.
S’agissant des conséquences, les crues ont été les plus meurtrières (80% des victimes) et ont causé les pertes économiques les plus graves (64%). Le phénomène le plus marquant pendant cette période a été une crue, accompagnée de glissements de terrain et de coulées de boue, qui a frappé le Venezuela à la fin de l’année 1999, faisant 30 000 victimes. Ce seul phénomène fausse de manière significative les statistiques sur le nombre de victimes pour la totalité de la région.
 
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En Amérique du Nord, en Amérique centrale et dans les Caraïbes :
 
1631 catastrophes signalées - 71 246 victimes - pertes de 1008,5 milliards de dollars.
La majorité des catastrophes signalées dans cette région ont été causées par des tempêtes (55%) et des crues (30%). Selon les données communiquées, les tempêtes ont été les plus meurtrières (7% des victimes) et ont causé les pertes économiques les plus importantes (79%).
 
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Pacifique Sud-Ouest :

1 156 catastrophes signalées - 54 684 victimes - pertes de 118,4 milliards de dollars.
La plupart étaient dues à des tempêtes (46%) et des crues (38%). Les catastrophes signalées les plus meurtrières ont été les cyclones tropicaux, principalement aux Philippines, notamment celui de 1991 qui a fait 5 956victimes. La sécheresse qui a frappé l’Australie en 1981 a entraîné des pertes économiques s’élevant à 15,2 milliards de dollars et les incendies qui ont ravagé l’Indonésie en 1997 se sont soldés par des pertes de près de 11,4 milliards de dollars.

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Europe :

1 352 catastrophes signalées - 149 959 victimes - pertes de 375,7 milliards de dollars.
Les catastrophes prédominantes ont été les crues (38%) et les tempêtes (30%), mais les températures extrêmes ont été les plus meurtrières (94% des victimes), les vagues de chaleur ayant fait 72 210 victimes en 2003 dans l’Ouest de l’Europe et 55 736 victimes en 2010 dans la Fédération de Russie. En revanche, la plupart des pertes économiques enregistrées pendant cette période étaient dues aux crues et aux tempêtes.

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Photo de Guillaume SECHETHistoire du site Météo Bruxelles

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Notre ville de BRUXELLES

 

Bruxelles est la capitale de la Belgique, de la Communauté flamande, de la Communauté française de Belgique et de la région de Bruxelles-Capitale. C’est aussi le siège de la plupart des institutions de l’Union Européenne (Bruxelles est donc considérée comme la capitale de l’Union), ainsi que de nombreuses organisations internationales, dont l’OTAN.

Sa superficie est de 161 km² pour une altitude de 62 m.

Sa population est d’environ 1.200.000 habitants

 

Le climat de Bruxelles est océanique dominant avec quelques influences continentales. Il pleut en moyenne 130 jours / an avec un cumul de 818 mm et un ensoleillement annuel moyen est de 1684 h.

 

L'histoire de Bruxelles : Notre ville voit le jour au 11è siècle, construite par les Ducs de Brabant. En se développant, la ville devient en 1100, une étape incontournable pour se rendre à Cologne ou à Bruges. Elle est alors agrémentée de faubourgs, de quartiers pour installer tous les artisans de la ville. Bruxelles devient par la suite une ville gouvernée par le Duc Philippe de St Pol, puis par Philippe le Bon qui décide lors de son règne, d’en faire son lieu de résidence. Bruxelles connait un essor économique. Les métiers de luxe et notamment l’orfèvrerie, les métiers du cuir et de la décoration se développent. Sous les Habsbourg et Philippe II, la ville ne perd pas de sa notoriété, mais l’arrivée des Espagnols en 1568 ne ravit pas les habitants de la ville qui se révoltent. Bruxelles devient dès 1695, un champ de Bataille au cours des Guerres menées par Louis XIV. Petit à petit, elle se reconstruit. Des monuments viennent embellir la ville, qui entre 1815 et 1830, devient le lieu de prédilection du Roi des Pays-Bas. La Révolution éclate cette même année et permet à la Belgique de devenir Indépendante. Des travaux de restaurations et de transformations sont entrepris au 20ème siècle. Mais au cours de la Seconde Guerre mondiale, Bruxelles est bombardée et assiégée par les troupes allemandes. Elle n’est libérée qu’en 1944 par les Anglais, mais continue d’être la cible des bombes volantes de l’Allemagne jusqu’en 1945. La ville s’en sort grandie. En 1958, elle accueille ''l’Exposition internationale et universelle'', entre dans l’Union Européenne et adhère à l’OTAN, en 1967. En 1970, la région flamande, la région wallonne et la région Bruxelles-capitale sont créées. Chacune ayant son propre gouvernement. Bruxelles, contrairement à ses voisines, reste une ville bilingue.

 

Les principaux centres d’intérêt de Bruxelles sont :La Grand-Place, les Galeries royales Saint-Hubert, les Galeries Agora et Bortier, le Passage du Nord, l’Eglise Sainte-Catherine, le Sablon (quartier des antiquaires), le Palais des Beaux-Arts, la Basilique du Sacré-Cœur à Koekelberg, la porte de Hal, sans oublier le célèbre Manneken-pis.