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Nouveau coup de froid avec gelées en cette fin de semaine

Le printemps marque une période de transition entre les premières bouffées douces (voire chaudes), et les ultimes descentes froides.

Bref, les manteaux ne doivent pas encore être rangées dans les placards, et cette fin de semaine nous le rappelle amplement : le flux continental désormais en place apporte un air frais, voire froid à la faveur de nuits dégagées. Conséquence, les gelées se multiplient et ont tendance à s'amplifier, notamment dans le Nord et dans l'Est !

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Températures minimales du samedi 13 et dimanche 14 avril 2019 - Météo-Villes


En ce mois d'avril, la température minimale enregistrée en plaine sur le réseau principal est de -6.5°C à Nevers (Nièvre) en matinée du dimanche 14 avril. Sur le réseau secondaire, -9.0°C ont été relevés à Mourmelon-le-Grand (Marne) durant cette même matinée du 14, une température exceptionnellement basse, à seulement 0.8°C du record mensuel national pour les villes de plaine (-9.8°C à Auberive en avril ... 2003 !).

Le vendredi 12, une valeur remarquable a été observée du côté de Brest, ville littorale, avec -1.9°C : il s'agit tout simplement de la température la plus basse observée sur cette ville en avril depuis 41 ans (derrière le record mensuel du 11 avril 1978 et ses -2.3°C), et la deuxième valeur la plus froide de la saison hivernale (-2.6°C le 5 janvier dernier).

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Les gelées sont plutôt récurrentes depuis le début de notre printemps météorologique (1er mars), et se sont montrées fréquentes durant la dernère décade de mars. Après un récent pic en début de mois, le froid s'impose donc de nouveau à l'approche de cette mi-avril, avec un pic observé pour le dimanche 14 avril (39% du territoire ont observé des gelées lors de cette journée, dont 4% de fortes gelées *).

* Statistique approximative établie sur une base de 175 stations du réseau principal métropolitain

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Ce pic de froid a atteint néanmoins son paroxysme durant la matinée de dimanche, avec des gelées généralisées sur un très grand quart Nord-Est. Elles régresseront lundi matin, avant un redoux massif envisagé dès mardi, à la faveur d'une bascule vers un flux de Sud.

Mais ces gelées ne sont pas sans conséquences. La douceur marquée de ces dernières semaines a provoqué un réveil généralisé et hâtif de la végétation, qui souffre alors du retour du froid. Les cultures sont soumises à rude épreuve, et plus notamment les vignobles dont les premiers dégâts avaient déjà été observés la semaine dernière (voir notre actualité dédié au précédent coup de froid >>). Plusieurs techniques de protection sont employées pour lutter contre le gel de leurs cultures (réchauffement par bruleurs, aspersion d'eau...)

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Bruleurs dans les vignobles du Sancerrois (Cher) dans la nuit du 12 au 13 avril 2019 - Marie-France Forest

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Bruleurs dans les vignobles de Bourgogne - 14 avril 2019 - Vincent Dancer

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Glace protectrice par aspersion d'eau dans les vergers de Gap - 14 avril 2019 - A. Bouvet via Infoclimat

Les fameux « Saints de Glace » ne sont attendus que du 11 au 13 mai. Autrement dit, ce gel de printemps peut encore se manifester d'ici cette date. Néanmoins, la tendance s'annonce bien douce pour la suite du mois d'avril (voir notre sujet dédié >>)...

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Photo de Guillaume SECHETHistoire du site Météo Bruxelles

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Notre ville de BRUXELLES

 

Bruxelles est la capitale de la Belgique, de la Communauté flamande, de la Communauté française de Belgique et de la région de Bruxelles-Capitale. C’est aussi le siège de la plupart des institutions de l’Union Européenne (Bruxelles est donc considérée comme la capitale de l’Union), ainsi que de nombreuses organisations internationales, dont l’OTAN.

Sa superficie est de 161 km² pour une altitude de 62 m.

Sa population est d’environ 1.200.000 habitants

 

Le climat de Bruxelles est océanique dominant avec quelques influences continentales. Il pleut en moyenne 130 jours / an avec un cumul de 818 mm et un ensoleillement annuel moyen est de 1684 h.

 

L'histoire de Bruxelles : Notre ville voit le jour au 11è siècle, construite par les Ducs de Brabant. En se développant, la ville devient en 1100, une étape incontournable pour se rendre à Cologne ou à Bruges. Elle est alors agrémentée de faubourgs, de quartiers pour installer tous les artisans de la ville. Bruxelles devient par la suite une ville gouvernée par le Duc Philippe de St Pol, puis par Philippe le Bon qui décide lors de son règne, d’en faire son lieu de résidence. Bruxelles connait un essor économique. Les métiers de luxe et notamment l’orfèvrerie, les métiers du cuir et de la décoration se développent. Sous les Habsbourg et Philippe II, la ville ne perd pas de sa notoriété, mais l’arrivée des Espagnols en 1568 ne ravit pas les habitants de la ville qui se révoltent. Bruxelles devient dès 1695, un champ de Bataille au cours des Guerres menées par Louis XIV. Petit à petit, elle se reconstruit. Des monuments viennent embellir la ville, qui entre 1815 et 1830, devient le lieu de prédilection du Roi des Pays-Bas. La Révolution éclate cette même année et permet à la Belgique de devenir Indépendante. Des travaux de restaurations et de transformations sont entrepris au 20ème siècle. Mais au cours de la Seconde Guerre mondiale, Bruxelles est bombardée et assiégée par les troupes allemandes. Elle n’est libérée qu’en 1944 par les Anglais, mais continue d’être la cible des bombes volantes de l’Allemagne jusqu’en 1945. La ville s’en sort grandie. En 1958, elle accueille ''l’Exposition internationale et universelle'', entre dans l’Union Européenne et adhère à l’OTAN, en 1967. En 1970, la région flamande, la région wallonne et la région Bruxelles-capitale sont créées. Chacune ayant son propre gouvernement. Bruxelles, contrairement à ses voisines, reste une ville bilingue.

 

Les principaux centres d’intérêt de Bruxelles sont :La Grand-Place, les Galeries royales Saint-Hubert, les Galeries Agora et Bortier, le Passage du Nord, l’Eglise Sainte-Catherine, le Sablon (quartier des antiquaires), le Palais des Beaux-Arts, la Basilique du Sacré-Cœur à Koekelberg, la porte de Hal, sans oublier le célèbre Manneken-pis.