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Quelle tendance météo saisonnière pour l'été 2025 ?

Le printemps calendaire va bientôt toucher à sa fin et nous ne sommes plus qu'à 1 mois de l'été météorologique. La tendance sèche va-t-elle persister sur la moitié Nord ? Va-t-on vivre un été chaud et orageux au Sud ? Découvrez les dernières tendance pour cet été 2025 en France.

Juin 2025 : plus chaud et instable ?

Selon les dernières modélisations, le mois de juin 2025 pourrait s'avérer régulièrement chaud et estival sur notre pays. En effet, les principaux modèles de prévisions saisonnières envisagent des températures situées globalement au-dessus des normales de saison sur la majorité du pays, notamment pour le modèle européen qui envisage des anomalies de températures supérieures à 1,5°C sur le Nord de la France.

Le modèle américain est un peu plus timoré sur le Sud et surtout le Sud-Est où les températures conserveraient plutôt des niveaux de saison, ce qui n'empêchera pas les premières très fortes chaleurs de concerner ces régions.


Anomalies de températures sur l'Europe pour le mois de juin 2025 – ECMWF et CFS

 

Selon ces mêmes modèles, il semblerait que le mois de juin soit contrasté en terme de précipitations sur la France. On remarque en effet une tendance sèche sur l'américain comme sur l'européen sur la moitié Nord de la France, de façon similaire à ce que nous avons pu connaître durant le mois de mai avec une instabilité possiblement plus récurrente au Sud.

Néanmoins, on remarque également, surtout sur l'américain CFS, qu'une bande allant du Centre au Nord-Est pourrait observer des précipitations sensiblement excédentaires durant ce mois, ce qui laisse penser à des dégradations orageuses récurrentes et parfois virulentes, chose somme toute assez classique en cette saison.


Anomalies de précipitations sur l'Europe pour le mois de juin 2025 – ECMWF et CFS

 

Ce mois de juin 2025, premier moi de l'été, pourrait donc s'avérer globalement assez chaud, notamment sur l'Ouest et le Nord et assez instable, notamment sur une bande allant du Sud-Ouest au Nord-Est ainsi que près des reliefs du Sud. La tendance sèche pourrait perdurer ailleurs, notamment sur le Nord-Ouest.
 

Juillet 2025 : chaud et sec ?

Aucun modèle de prévisions saisonnières n'envisage d'anomalie négative de températures sur notre pays pour ce mois de juillet 2025, ce qui veut dire que les chances d'un mois de juillet maussade sont aujourd'hui maigres. Au contraire, il semblerait que ce mois de juillet 2025 se montre chaud sur la majorité de la France, notamment sur l'Ouest et le Nord où il faudra surveiller le risque caniculaire, les modèles européens et américains s'accordant sur des anomalies de températures notables (>1°C) sur ces régions.

En allant vers le Sud-Est, les températures se rapprocheraient des normales, ce qui n'empêchera encore une fois pas des journées chaudes voire caniculaires, chose fréquente en cette période de l'année.


Anomalies de températures sur l'Europe pour le mois de juillet 2025 – ECMWF et CFS

 

Au niveau des précipitations, il semblerait que ce mois de juillet soit assez sec sur la majorité du pays, excepté quelques dégradations orageuses temporaires et des orages possiblement un peu plus récurrents près des Pyrénées et des Alpes.

Il conviendra donc de surveiller le risque de sécheresse, notamment sur le Nord du pays où le déficit de précipitations s'accumule depuis le printemps, et où la chaleur possiblement récurrente n'arrangera pas les choses.

Anomalies de précipitations sur l'Europe pour le mois de juillet 2025 – ECMWF et CFS

 

Ce mois de juillet pourrait donc se montrer chaud et sec sur la majorité de la France avec un risque de canicules à surveiller sur de nombreuses régions, notamment sur l'Ouest et le Nord, où il faudra d'ailleurs surveiller également le risque de sécheresse. L'instabilité devrait en effet rester assez limitée sur le pays, excepté sur les reliefs du Sud (Pyrénées et Alpes notamment) où les orages pourraient s'avérer plus récurrents, de façon similaire aux mois précédents.

 

Août 2025 : plus d'incertitudes au niveau de l'instabilité

Là encore, aucune tendance plus fraîche que la normale ne se dégage des modèles de prévisions saisonnières pour ce mois d'août 2025, du moins pour le moment. La quasi totalité de la France serait concernée par des températures supérieures aux moyennes de la période, notamment l'Ouest et le Nord une nouvelle-fois.


Anomalies de températures sur l'Europe pour le mois d'août 2025 – ECMWF et CFS

 

En terme de précipitations les incertitudes sont plus nombreuses. Le modèle européen persiste dans sa tendance sèche, surtout sur le Nord et l'Ouest du pays même si les précipitations seraient possiblement un peu plus fréquentes au Sud, souvent sous forme d'orages (ce qui est normal en cette période).

Le modèle américain est quant à lui bien plus instable sur la moitié Sud, notamment des Pyrénées aux Alpes avec un risque de dégradations pluvio-orageuses récurrentes et parfois marquées. Au contraire, le Nord et surtout le Nord-Est conserverait un temps plus stable et sec. Une tendance qu'il conviendra une nouvelle-fois de surveiller, tant au niveau du risque d'orages au Sud que du risque de sécheresse au Nord.

Anomalies de précipitations sur l'Europe pour le mois d'août 2025 – ECMWF et CFS

 

Le mois d'août 2025 est donc pour le moment plus incertain, surtout en terme de précipitations avec des orages possiblement récurrents sur le Sud mais un temps une nouvelle-fois plus sec au Nord. En terme de températures, la tendance chaude est de nouveau d'actualité, même si l'instabilité pourrait limiter le risque caniculaire sur le Sud.

 

En bref, l'été 2025, d'après les dernières modélisations pourrait s'avérer globalement chaud avec un risque de canicule possiblement plus marqué que les étés précédents, surtout sur l'Ouest et le Nord (ce qui n'empêcherait pas le Sud et l'Est d'être concernés).

Il conviendra de surveiller les précipitations, qui pourraient s'avérer globalement déficitaires sur le Nord de la France, dans la continuité de ce printemps 2025. À l'inverse, les orages se montreraient plus récurrents au Sud, notamment près des reliefs.


Résumé des tendances saisonnières (à la mi-mai) pour l'été 2025 – Météo-Villes

 

Ces prévisions sont bien sûr à prendre avec précaution, celles-ci pouvant encore évoluer dans les prochaines semaines.

 

 

Photo de Guillaume SECHETHistoire du site Météo Bruxelles

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Notre ville de BRUXELLES

 

Bruxelles est la capitale de la Belgique, de la Communauté flamande, de la Communauté française de Belgique et de la région de Bruxelles-Capitale. C’est aussi le siège de la plupart des institutions de l’Union Européenne (Bruxelles est donc considérée comme la capitale de l’Union), ainsi que de nombreuses organisations internationales, dont l’OTAN.

Sa superficie est de 161 km² pour une altitude de 62 m.

Sa population est d’environ 1.200.000 habitants

 

Le climat de Bruxelles est océanique dominant avec quelques influences continentales. Il pleut en moyenne 130 jours / an avec un cumul de 818 mm et un ensoleillement annuel moyen est de 1684 h.

 

L'histoire de Bruxelles : Notre ville voit le jour au 11è siècle, construite par les Ducs de Brabant. En se développant, la ville devient en 1100, une étape incontournable pour se rendre à Cologne ou à Bruges. Elle est alors agrémentée de faubourgs, de quartiers pour installer tous les artisans de la ville. Bruxelles devient par la suite une ville gouvernée par le Duc Philippe de St Pol, puis par Philippe le Bon qui décide lors de son règne, d’en faire son lieu de résidence. Bruxelles connait un essor économique. Les métiers de luxe et notamment l’orfèvrerie, les métiers du cuir et de la décoration se développent. Sous les Habsbourg et Philippe II, la ville ne perd pas de sa notoriété, mais l’arrivée des Espagnols en 1568 ne ravit pas les habitants de la ville qui se révoltent. Bruxelles devient dès 1695, un champ de Bataille au cours des Guerres menées par Louis XIV. Petit à petit, elle se reconstruit. Des monuments viennent embellir la ville, qui entre 1815 et 1830, devient le lieu de prédilection du Roi des Pays-Bas. La Révolution éclate cette même année et permet à la Belgique de devenir Indépendante. Des travaux de restaurations et de transformations sont entrepris au 20ème siècle. Mais au cours de la Seconde Guerre mondiale, Bruxelles est bombardée et assiégée par les troupes allemandes. Elle n’est libérée qu’en 1944 par les Anglais, mais continue d’être la cible des bombes volantes de l’Allemagne jusqu’en 1945. La ville s’en sort grandie. En 1958, elle accueille ''l’Exposition internationale et universelle'', entre dans l’Union Européenne et adhère à l’OTAN, en 1967. En 1970, la région flamande, la région wallonne et la région Bruxelles-capitale sont créées. Chacune ayant son propre gouvernement. Bruxelles, contrairement à ses voisines, reste une ville bilingue.

 

Les principaux centres d’intérêt de Bruxelles sont :La Grand-Place, les Galeries royales Saint-Hubert, les Galeries Agora et Bortier, le Passage du Nord, l’Eglise Sainte-Catherine, le Sablon (quartier des antiquaires), le Palais des Beaux-Arts, la Basilique du Sacré-Cœur à Koekelberg, la porte de Hal, sans oublier le célèbre Manneken-pis.