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Températures : poursuite du contraste Nord/Sud la semaine prochaine

Ce troisième week-end de juillet se montre particulièrement estival sur l'ensemble des régions. Le soleil a fini par gagner du terrain, tout comme la chaleur, avec le seuil des 30°C atteint jusqu'en région Parisienne.

Néanmoins, le contraste Nord/sud qui domine depuis quelques temps sera toujours de la partie lors de la semaine à venir. Un anticyclone positionné sur le Proche-Atlantique devrait en effet placer toute la moitié nord de la France en flux continental (secteur Nord-Est) sec mais également tempéré.

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Analyse générale - prévision pour le mardi 21 juillet 2020 - Modèle GFS via WetterOnline

 

Tandis que la masse d'air devrait se montrer très chaude sur les régions du sud (18 à 20°C à l'altitude de de référence de 1500m), c'est un air bien plus frais qui concernera les secteurs les plus septentrionaux (5 à 9°C à cette même altitude de 1500m), soit un écart d'une quinzaine de degrés environ.

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Température de la masse d'air à 1500m d'altitude - du lundi 20 au jeudi 23 juillet 2020 - Modèle GFS via WxCharts

 

Au Sud, les fortes chaleurs vont se maintenir durant plusieurs jours. Si nous ne parlerons pas du tout de canicule, le thermomètre devrait toutefois flamber avec le seuil des 30°C dépassés de façon majoritaire au sud de la Loire. Une ambiance donc très estivale qui attend les vacanciens sur la route du Sud !

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Probabilité de température >30°C - du dimanche 19 au mercredi 22 juillet 2020 - Modèle PE-Arpège via Meteociel

 

Localement, la barre des 35°C pourrait être atteinte. Ce pourrait être le cas notamment lundi/mardi dans le Sud-Ouest et en vallée du Rhône, mais aussi sur le Languedoc pour l'après-midi de jeudi (pour cette journée, à surveiller des pointes jusqu'à 37 voire 38°C localement sur le Gard).
A l'inverse, sous le vent continental, le thermomètre aurait bien du mal à franchir les 25°C au nord de la Seine, et pourraient chuter sous les 10°C au lever du jour. Des températures qui, pourtant, malgré une idée reçue, seront très proches des moyennes de saison l'après-midi (les derniers étés nous ayant habitués à des périodes caniculaires...).

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Températures maximales prévues - lundi 20 et mardi 21 juillet 2020 - Météo-Villes

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Températures maximales prévues - mercredi 22 et jeudi 23 juillet 2020 - Météo-Villes

 

Si le contraste Nord/Sud se fera en terme de température, il sera également bien présent en terme de précipitations. En effet, le vent continental devrait apporter un air relativement sec sur les régions du Nord... mais l'instabilité dématérialisée par des orages sera grandissante au fil des jours des Pyrénées jusqu'aux Alpes, en passant par le Massif-Central. Ces orages pourraient éclater dès la fin de journée de mardi dans le Sud-Ouest, avant de s'étendre mercredi et jeudi (a minima) vers l'Est.

Alors que ce début d'été se montre relativement sec, il faudra attendre la fin du week-end (dimanche) pour observer des pluies un peu plus significatives au Nord, avec le retour très probable des perturbations océaniques.

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Accumulation des précipitations - du lundi 20 au samedi 25 juillet 2020 - Modèle GFS via WxCharts

N'hésitez pas à consulter quotidiennement nos prévisions expertisées afin de vous tenir au courant de l'évolution de la situation !

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Photo de Guillaume SECHETHistoire du site Météo Bruxelles

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Notre ville de BRUXELLES

 

Bruxelles est la capitale de la Belgique, de la Communauté flamande, de la Communauté française de Belgique et de la région de Bruxelles-Capitale. C’est aussi le siège de la plupart des institutions de l’Union Européenne (Bruxelles est donc considérée comme la capitale de l’Union), ainsi que de nombreuses organisations internationales, dont l’OTAN.

Sa superficie est de 161 km² pour une altitude de 62 m.

Sa population est d’environ 1.200.000 habitants

 

Le climat de Bruxelles est océanique dominant avec quelques influences continentales. Il pleut en moyenne 130 jours / an avec un cumul de 818 mm et un ensoleillement annuel moyen est de 1684 h.

 

L'histoire de Bruxelles : Notre ville voit le jour au 11è siècle, construite par les Ducs de Brabant. En se développant, la ville devient en 1100, une étape incontournable pour se rendre à Cologne ou à Bruges. Elle est alors agrémentée de faubourgs, de quartiers pour installer tous les artisans de la ville. Bruxelles devient par la suite une ville gouvernée par le Duc Philippe de St Pol, puis par Philippe le Bon qui décide lors de son règne, d’en faire son lieu de résidence. Bruxelles connait un essor économique. Les métiers de luxe et notamment l’orfèvrerie, les métiers du cuir et de la décoration se développent. Sous les Habsbourg et Philippe II, la ville ne perd pas de sa notoriété, mais l’arrivée des Espagnols en 1568 ne ravit pas les habitants de la ville qui se révoltent. Bruxelles devient dès 1695, un champ de Bataille au cours des Guerres menées par Louis XIV. Petit à petit, elle se reconstruit. Des monuments viennent embellir la ville, qui entre 1815 et 1830, devient le lieu de prédilection du Roi des Pays-Bas. La Révolution éclate cette même année et permet à la Belgique de devenir Indépendante. Des travaux de restaurations et de transformations sont entrepris au 20ème siècle. Mais au cours de la Seconde Guerre mondiale, Bruxelles est bombardée et assiégée par les troupes allemandes. Elle n’est libérée qu’en 1944 par les Anglais, mais continue d’être la cible des bombes volantes de l’Allemagne jusqu’en 1945. La ville s’en sort grandie. En 1958, elle accueille ''l’Exposition internationale et universelle'', entre dans l’Union Européenne et adhère à l’OTAN, en 1967. En 1970, la région flamande, la région wallonne et la région Bruxelles-capitale sont créées. Chacune ayant son propre gouvernement. Bruxelles, contrairement à ses voisines, reste une ville bilingue.

 

Les principaux centres d’intérêt de Bruxelles sont :La Grand-Place, les Galeries royales Saint-Hubert, les Galeries Agora et Bortier, le Passage du Nord, l’Eglise Sainte-Catherine, le Sablon (quartier des antiquaires), le Palais des Beaux-Arts, la Basilique du Sacré-Cœur à Koekelberg, la porte de Hal, sans oublier le célèbre Manneken-pis.