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Douceur / Forte chaleur / Incendies

Un épisode printanier parfois décevant

Si la météo est largement printanière au sud-ouest, ce n'est pas le cas au nord où le thermomètre tarde à remonter. De plus, le pic de douceur des prochains jours ne sera pas forcément associé à un ressenti très agréable.

 

Douceur au sud-ouest contre froid tenace au nord

Le sud-ouest de la France bénéficie de conditions très printanières depuis le week-end dernier. Sur la côte basque, on a plusieurs fois dépassé la barre des 20°C au cours des derniers jours. À Saint-Jean-de-Luz, il y avait beaucoup de monde sur la plage et même quelques baigneurs ce mardi 18 février 2025 avec une température maximale ayant atteint 22,9°C.

22,9°C sur la côte basque à Saint-Jean-de-Luz (64) ce mardi 18 février 2025 - Viewsurf

 

 

À l'inverse, les régions du nord ne peuvent pas en dire autant. En marge d'une vague de froid qui touche l'Allemagne, le froid déborde et les températures y sont sensiblement plus basses. Ainsi, une ville comme Lille a passé ses 10 derniers jours avec des températures maximales plafonnant entre 3 et 6°C et vient d'enregistrer sa 6ème gelée matinale consécutive, un ressenti tout sauf printanier. D'ailleurs, il y avait encore de la neige au sol sur la digue de Bray-Dunes dans le nord ce lundi. Malgré le soleil, il faut donc se couvrir.

Soleil mais froid et neige au sol à Bray-Dunes (59) ce lundi 17 février 2025 - Viewsurf

 

 

Douceur gagnant le nord mais ressenti mitigé

Les températures vont enfin grimper sur le nord de la France avec l'extension de la masse d'air douce. Comme on le voit sur les cartes ci-dessous, il fera souvent 15 à 16°C jusque dans les régions les plus septentrionales d'ici vendredi 21 février 2025. Cependant, il faudra composer avec un ressenti qui ne sera pas des plus agréables. En effet, la journée de jeudi sera très nébuleuse au nord-ouest avec parfois quelques gouttes puis un voile nuageux dense recouvrira de nombreuses régions vendredi. Si la douceur sera enfin là au nord, l'impression de beau temps ne suivra pas forcément. Frustrant...

Météo et températures maximales des jeudi 20 et vendredi 21 février 2025 - Météo Villes

 

 

Pour ne rien arranger, les nuages seront également associé à un vent de sud sensible. Journée la plus douce de la semaine à échelle nationale, le vendredi 21 février 2025 sera marqué par un vent de sud soufflant à plus de 50 km/h sur de nombreuses régions du nord, du centre et de l'ouest. Des rafales de 80 km/h voire plus sont attendues sur la pointe bretonne, du domaine de l'autan jusqu'au Lyonnais ainsi que sur l'ouest des Pyrénées. Avec la conjugaison du vent et des nuages, la douceur sera souvent insuffisante à amener un ressenti printanier.

Rafales maximales prévues le vendredi 21 février 2025 - meteociel.fr

 

 

Dégradation dès samedi

Après ce pic de douceur au nord, une dégradation se prépare pour la journée du samedi 22 février 2025. Celle-ci sera marquée par le passage d'une perturbation pluvieuse, s'enfonçant sur une grande partie de la France. Elle sera accompagnée d'un fléchissement des températures, malgré des valeurs restant supérieures aux normales. Autant dire que si vous habitez dans le nord et que vous êtes frustrés par les températures basses des derniers temps, ce week-end ne devrait pas vraiment vous permettre de vous rattraper à cause d'une météo nuageuse et humide...

Météo et températures maximales du samedi 22 février 2025 - Météo Villes

 

 

Les tendances pour la semaine prochaine (du 23 février au 2 mars 2025) misent sur la domination d'un flux océanique perturbé. Ce dernier apporterait de nombreuses perturbations pluvieuses, notamment sur le nord et l'ouest de la France. Les habitants du nord qui espèrent renouer avec des conditions douces et lumineuses risquent donc de devoir encore prendre leur mal en patience...

Anomalie pluviométrique en semaine du lundi 23 février au dimanche 2 mars 2025 - ECMWF

 

 

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Photo de Guillaume SECHETHistoire du site Météo Bruxelles

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Notre ville de BRUXELLES

 

Bruxelles est la capitale de la Belgique, de la Communauté flamande, de la Communauté française de Belgique et de la région de Bruxelles-Capitale. C’est aussi le siège de la plupart des institutions de l’Union Européenne (Bruxelles est donc considérée comme la capitale de l’Union), ainsi que de nombreuses organisations internationales, dont l’OTAN.

Sa superficie est de 161 km² pour une altitude de 62 m.

Sa population est d’environ 1.200.000 habitants

 

Le climat de Bruxelles est océanique dominant avec quelques influences continentales. Il pleut en moyenne 130 jours / an avec un cumul de 818 mm et un ensoleillement annuel moyen est de 1684 h.

 

L'histoire de Bruxelles : Notre ville voit le jour au 11è siècle, construite par les Ducs de Brabant. En se développant, la ville devient en 1100, une étape incontournable pour se rendre à Cologne ou à Bruges. Elle est alors agrémentée de faubourgs, de quartiers pour installer tous les artisans de la ville. Bruxelles devient par la suite une ville gouvernée par le Duc Philippe de St Pol, puis par Philippe le Bon qui décide lors de son règne, d’en faire son lieu de résidence. Bruxelles connait un essor économique. Les métiers de luxe et notamment l’orfèvrerie, les métiers du cuir et de la décoration se développent. Sous les Habsbourg et Philippe II, la ville ne perd pas de sa notoriété, mais l’arrivée des Espagnols en 1568 ne ravit pas les habitants de la ville qui se révoltent. Bruxelles devient dès 1695, un champ de Bataille au cours des Guerres menées par Louis XIV. Petit à petit, elle se reconstruit. Des monuments viennent embellir la ville, qui entre 1815 et 1830, devient le lieu de prédilection du Roi des Pays-Bas. La Révolution éclate cette même année et permet à la Belgique de devenir Indépendante. Des travaux de restaurations et de transformations sont entrepris au 20ème siècle. Mais au cours de la Seconde Guerre mondiale, Bruxelles est bombardée et assiégée par les troupes allemandes. Elle n’est libérée qu’en 1944 par les Anglais, mais continue d’être la cible des bombes volantes de l’Allemagne jusqu’en 1945. La ville s’en sort grandie. En 1958, elle accueille ''l’Exposition internationale et universelle'', entre dans l’Union Européenne et adhère à l’OTAN, en 1967. En 1970, la région flamande, la région wallonne et la région Bruxelles-capitale sont créées. Chacune ayant son propre gouvernement. Bruxelles, contrairement à ses voisines, reste une ville bilingue.

 

Les principaux centres d’intérêt de Bruxelles sont :La Grand-Place, les Galeries royales Saint-Hubert, les Galeries Agora et Bortier, le Passage du Nord, l’Eglise Sainte-Catherine, le Sablon (quartier des antiquaires), le Palais des Beaux-Arts, la Basilique du Sacré-Cœur à Koekelberg, la porte de Hal, sans oublier le célèbre Manneken-pis.