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Une fin d'été météorologique sous les fortes chaleurs

L'été météorologique se conclue officiellement au 31 août. Et comme tout un symbole, cette saison se termine par une énième vague de chaleur sur le pays, pour ce qui devrait être le 3e été le plus chaud jamais mesuré en France (voir notre actualité dédiée >>).

C'est en effet une nouvelle bouffée chaude qui concerne notre pays depuis quelques jours, avec des températures parfois remarquablement élevées pour une toute dernière décade d'août (localement, l'anomalie l'après-midi dépasse les 10°C dans le Centre-Val-de-Loire). La barre des 30°C est franchie au sud comme au nord, et seuls le nord de la Bretagne ainsi que le Cotentin semblent à l'écart.

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Températures maximales observées - 26 et 27 août 2019 - Météo-Villes

 

Cette vague de chaleur est d'ailleurs la plus importante de ce mois d'août sur le pays (en terme d'intensité) : les 2/3 du territoire ont observé une température supérieure à 30°C ce 25 août, et 9% des stations principales ont même dépassé les 35°C (dans le Sud-Est et le Centre-Ouest notamment).

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Pour les valeurs les plus marquantes, notons les 35.8°C relevés à Angers et à Poitiers (le 26), ainsi qu'à Romorantin (le 25), mais aussi les 36.0°C à Brive-la-Gaillarde (le 24). Des valeurs élevées qui s'inscrivent parmi les plus chaudes de ce mois (dont le maximum s'élève à 37.6°C sur ce réseau principal, à Paray-le-Monial le 9 août, et à Figari le 11 août). Ces températures paraissent toutefois bien faiblardes par rapport aux records incroyables du mois de juin et de juillet ... (>>).

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Une petite baisse est envisagée pour ce milieu de semaine avec le retour de quelques orages (nous resterons encore au dessus des moyennes de saison). Mais une nouvelle bouffée chaude se profile pour les journées de vendredi et de samedi, comme un dernier baroud d'honneur de cet été hors-norme !

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Anomalie de température de la masse d'air (1500m d'alt.) - du 27 août au 1er septembre 2019 - Modèle GFS / TropicalTidbits

 

Le quart Nord-Ouest pourrait se retrouver en bordure d'un courant océanique ce qui limitera la hausse des températures. Partout ailleurs, c'est une nouvelle flambée des températures qui est promise, puisque nous pourrions encore dépasser les 35°C sur le Languedoc, dans le Midi-Toulousain, voire même dans la région Centre !

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Températures maximales prévues - vendredi 30 et samedi 31 août 2019 - Météo-Villes

Et pour débuter l'automne météorologique (1er septembre - 30 novembre), c'est un air bien plus rafraichi qui fera son retour. Cette dernière vague de chaleur pourrait donc être la dernière ? Possible... En attendant, consultez régulièrement nos prévisions pour vous tenir informés >>

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Photo de Guillaume SECHETHistoire du site Météo Bruxelles

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Notre ville de BRUXELLES

 

Bruxelles est la capitale de la Belgique, de la Communauté flamande, de la Communauté française de Belgique et de la région de Bruxelles-Capitale. C’est aussi le siège de la plupart des institutions de l’Union Européenne (Bruxelles est donc considérée comme la capitale de l’Union), ainsi que de nombreuses organisations internationales, dont l’OTAN.

Sa superficie est de 161 km² pour une altitude de 62 m.

Sa population est d’environ 1.200.000 habitants

 

Le climat de Bruxelles est océanique dominant avec quelques influences continentales. Il pleut en moyenne 130 jours / an avec un cumul de 818 mm et un ensoleillement annuel moyen est de 1684 h.

 

L'histoire de Bruxelles : Notre ville voit le jour au 11è siècle, construite par les Ducs de Brabant. En se développant, la ville devient en 1100, une étape incontournable pour se rendre à Cologne ou à Bruges. Elle est alors agrémentée de faubourgs, de quartiers pour installer tous les artisans de la ville. Bruxelles devient par la suite une ville gouvernée par le Duc Philippe de St Pol, puis par Philippe le Bon qui décide lors de son règne, d’en faire son lieu de résidence. Bruxelles connait un essor économique. Les métiers de luxe et notamment l’orfèvrerie, les métiers du cuir et de la décoration se développent. Sous les Habsbourg et Philippe II, la ville ne perd pas de sa notoriété, mais l’arrivée des Espagnols en 1568 ne ravit pas les habitants de la ville qui se révoltent. Bruxelles devient dès 1695, un champ de Bataille au cours des Guerres menées par Louis XIV. Petit à petit, elle se reconstruit. Des monuments viennent embellir la ville, qui entre 1815 et 1830, devient le lieu de prédilection du Roi des Pays-Bas. La Révolution éclate cette même année et permet à la Belgique de devenir Indépendante. Des travaux de restaurations et de transformations sont entrepris au 20ème siècle. Mais au cours de la Seconde Guerre mondiale, Bruxelles est bombardée et assiégée par les troupes allemandes. Elle n’est libérée qu’en 1944 par les Anglais, mais continue d’être la cible des bombes volantes de l’Allemagne jusqu’en 1945. La ville s’en sort grandie. En 1958, elle accueille ''l’Exposition internationale et universelle'', entre dans l’Union Européenne et adhère à l’OTAN, en 1967. En 1970, la région flamande, la région wallonne et la région Bruxelles-capitale sont créées. Chacune ayant son propre gouvernement. Bruxelles, contrairement à ses voisines, reste une ville bilingue.

 

Les principaux centres d’intérêt de Bruxelles sont :La Grand-Place, les Galeries royales Saint-Hubert, les Galeries Agora et Bortier, le Passage du Nord, l’Eglise Sainte-Catherine, le Sablon (quartier des antiquaires), le Palais des Beaux-Arts, la Basilique du Sacré-Cœur à Koekelberg, la porte de Hal, sans oublier le célèbre Manneken-pis.