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Une première moitié d'Octobre douce, sèche et ensoleillée

Après un mois de septembre plus frais que la normale (>>), ce mois d'Octobre semble prendre le chemin inverse. Les deux premières décades du mois se sont avérés bien plus douces qu'habituellement observé en cette période de l'année. Une anomalie qui a atteint +0.9°C à l'échelle du pays sur la première moitié du mois.

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Anomalie de la température moyenne entre le 1er et le 18 octobre 2017 - Météo-France

 

Une anomalie qui s'est encore accentuée ces derniers jours grâce à une masse d'air particulièrement chaude, liée entre autre à la présence proche de l'ouragan Ophélia en début de semaine (>>). Des records ont été battus lors de la seconde décade du mois, où les températures ont atteint parfois les 25°C sur la moitié Nord, et même les 30°C en Aquitaine. Avec une moyenne de 22.8°C, les températures maximales observées sur cette seconde décade se situe 4.9°C au delà de la norme, un record sur cette période (bien au delà du précédent record de 22.1°C lors de la 2e décade d'octobre 2001).

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Anomalie des températures maximales – 2e décade d'Octobre - Twitter François Jobard Francois Jobard‏ / Météo-France

 

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Anomalie de température à Toulouse, Clermont et Lille - 21 septembre au 21 octobre - NOAA

 

Un mois d'octobre qui n'a pour l'instant rien d'automnal. Outre la douceur, les conditions générales sont particulièrement sèches et ensoleillées sur l'ensemble du pays. Malgré la survenue du tout premier épisode cévenol entre Languedoc et Roussillon le 18 et 19 (>>), il n'a pas plus une seule goutte sur certaines viles du Sud-Est du pays où la sécheresse ne cesse d'empirer.

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Cartes Météo-France

Malgré une période plus perturbée ce week-end, cette tendance générale douce et sèche devrait reprendre le dessus la semaine prochaine à la faveur d'un retour de l'anticyclone. Sans aucun doute, ce mois d'Octobre devrait donc finir par un important excédent de température, ainsi qu'un gros déficit pluviométrique. L'ensoleillement pourrait atteindre des records sur le Centre-Est, alors qu'elle retrouverait des niveaux conformes sur la moitié Nord (grisaille persistante en 3e décade).

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Anomalie de température et cumul total des précipitations - prévision du 22 au 27 octobre - ClimateReanalyzer

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Photo de Guillaume SECHETHistoire du site Météo Bruxelles

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Notre ville de BRUXELLES

 

Bruxelles est la capitale de la Belgique, de la Communauté flamande, de la Communauté française de Belgique et de la région de Bruxelles-Capitale. C’est aussi le siège de la plupart des institutions de l’Union Européenne (Bruxelles est donc considérée comme la capitale de l’Union), ainsi que de nombreuses organisations internationales, dont l’OTAN.

Sa superficie est de 161 km² pour une altitude de 62 m.

Sa population est d’environ 1.200.000 habitants

 

Le climat de Bruxelles est océanique dominant avec quelques influences continentales. Il pleut en moyenne 130 jours / an avec un cumul de 818 mm et un ensoleillement annuel moyen est de 1684 h.

 

L'histoire de Bruxelles : Notre ville voit le jour au 11è siècle, construite par les Ducs de Brabant. En se développant, la ville devient en 1100, une étape incontournable pour se rendre à Cologne ou à Bruges. Elle est alors agrémentée de faubourgs, de quartiers pour installer tous les artisans de la ville. Bruxelles devient par la suite une ville gouvernée par le Duc Philippe de St Pol, puis par Philippe le Bon qui décide lors de son règne, d’en faire son lieu de résidence. Bruxelles connait un essor économique. Les métiers de luxe et notamment l’orfèvrerie, les métiers du cuir et de la décoration se développent. Sous les Habsbourg et Philippe II, la ville ne perd pas de sa notoriété, mais l’arrivée des Espagnols en 1568 ne ravit pas les habitants de la ville qui se révoltent. Bruxelles devient dès 1695, un champ de Bataille au cours des Guerres menées par Louis XIV. Petit à petit, elle se reconstruit. Des monuments viennent embellir la ville, qui entre 1815 et 1830, devient le lieu de prédilection du Roi des Pays-Bas. La Révolution éclate cette même année et permet à la Belgique de devenir Indépendante. Des travaux de restaurations et de transformations sont entrepris au 20ème siècle. Mais au cours de la Seconde Guerre mondiale, Bruxelles est bombardée et assiégée par les troupes allemandes. Elle n’est libérée qu’en 1944 par les Anglais, mais continue d’être la cible des bombes volantes de l’Allemagne jusqu’en 1945. La ville s’en sort grandie. En 1958, elle accueille ''l’Exposition internationale et universelle'', entre dans l’Union Européenne et adhère à l’OTAN, en 1967. En 1970, la région flamande, la région wallonne et la région Bruxelles-capitale sont créées. Chacune ayant son propre gouvernement. Bruxelles, contrairement à ses voisines, reste une ville bilingue.

 

Les principaux centres d’intérêt de Bruxelles sont :La Grand-Place, les Galeries royales Saint-Hubert, les Galeries Agora et Bortier, le Passage du Nord, l’Eglise Sainte-Catherine, le Sablon (quartier des antiquaires), le Palais des Beaux-Arts, la Basilique du Sacré-Cœur à Koekelberg, la porte de Hal, sans oublier le célèbre Manneken-pis.