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Les hivers en France

Les toits s’écroulent en région Rhône-Alpes

 
  • Après trois hivers quasiment sans neige généralisée, le mois de décembre 1990 est un peu plus froid.
    Du 9 au 13 décembre, la Franche-Comté, le nord des Alpes et le Dauphiné connaissent la pire tempête de neige depuis le fameux épisode de décembre 1970. Les conséquences sur les routes sont tout de même moins catastrophiques car cette fois-ci, les autoroutes ferment à temps et la moyenne vallée du Rhône est un peu moins touchée. A Lyon, la neige fait son entrée le soir même de la célèbre fête de la lumière alors que tous les quartiers sont illuminés ; ils ne le resteront pas longtemps ! Une incroyable pagaille est alors constatée à l’est de Lyon, aggravée par le manque de prévoyance des automobilistes circulant sans chaînes ni pneus spéciaux (nous sommes encore en automne). De vastes régions sont rapidement paralysées sous 50 à 80 cm de neige (une trentaine de centimètres à Grenoble). Comme il s’agit d’une neige lourde (chargée en eau), de nombreux toits s’effondrent sous son poids (comme celui du  supermarché Leclerc de Bourgoin-Jallieu, faisant 6 blessés). Les arbres cassent et endommagent des lignes électriques et les caténaires de la SNCF. Jean-Claude Killy (responsable de l’organisation des JO 1992 d’Albertville) est lui-même bloqué dans un train pendant plusieurs heures. De nombreuses gares de la région ne desservent plus de voyageurs. Les agglomérations de Mâcon, Chalon-sur-Saône, Bourg-en-Bresse et Bourgoin-Jallieu restent paralysées pendant au moins trois jours et la plupart des écoles sont fermées. 120 000 foyers (300 000 personnes) sont sans électricité, ce qui mobilise plus de 5000 agents qui travaillent souvent dans des conditions extrêmement difficiles. A Grenoble, Lyon et Besançon, on profite de cet évènement pour tester un nouveau produit destiné à faire fondre la neige en respectant l’environnement sans dégrader les revêtements routiers ni les carrosseries des voitures (les soucis de respect à l’égard de l’environnement n’ont cessé de croître depuis quelques années).


  • La neige ne touche pas seulement ces régions, et les trois-quarts de la France sont concernés (à un degré bien moindre). On peut d’ailleurs noter qu’il s’agit des premières chutes de neige quasi-généralisées depuis la vague de froid du mois de janvier 1987, ce qui contribue à accentuer le phénomène de panique qui règne un peu partout sur les routes – la population n’étant plus habituée aux intempéries hivernales.

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  • Ces informations ont été recueillies par Guillaume Séchet. Toute copie est strictement interdite.

  • Copyright 2010. Guillaume Séchet pour meteo-paris.com

 

Photo de Guillaume SECHETHistoire du site Météo Bruxelles

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Notre ville de BRUXELLES

 

Bruxelles est la capitale de la Belgique, de la Communauté flamande, de la Communauté française de Belgique et de la région de Bruxelles-Capitale. C’est aussi le siège de la plupart des institutions de l’Union Européenne (Bruxelles est donc considérée comme la capitale de l’Union), ainsi que de nombreuses organisations internationales, dont l’OTAN.

Sa superficie est de 161 km² pour une altitude de 62 m.

Sa population est d’environ 1.200.000 habitants

 

Le climat de Bruxelles est océanique dominant avec quelques influences continentales. Il pleut en moyenne 130 jours / an avec un cumul de 818 mm et un ensoleillement annuel moyen est de 1684 h.

 

L'histoire de Bruxelles : Notre ville voit le jour au 11è siècle, construite par les Ducs de Brabant. En se développant, la ville devient en 1100, une étape incontournable pour se rendre à Cologne ou à Bruges. Elle est alors agrémentée de faubourgs, de quartiers pour installer tous les artisans de la ville. Bruxelles devient par la suite une ville gouvernée par le Duc Philippe de St Pol, puis par Philippe le Bon qui décide lors de son règne, d’en faire son lieu de résidence. Bruxelles connait un essor économique. Les métiers de luxe et notamment l’orfèvrerie, les métiers du cuir et de la décoration se développent. Sous les Habsbourg et Philippe II, la ville ne perd pas de sa notoriété, mais l’arrivée des Espagnols en 1568 ne ravit pas les habitants de la ville qui se révoltent. Bruxelles devient dès 1695, un champ de Bataille au cours des Guerres menées par Louis XIV. Petit à petit, elle se reconstruit. Des monuments viennent embellir la ville, qui entre 1815 et 1830, devient le lieu de prédilection du Roi des Pays-Bas. La Révolution éclate cette même année et permet à la Belgique de devenir Indépendante. Des travaux de restaurations et de transformations sont entrepris au 20ème siècle. Mais au cours de la Seconde Guerre mondiale, Bruxelles est bombardée et assiégée par les troupes allemandes. Elle n’est libérée qu’en 1944 par les Anglais, mais continue d’être la cible des bombes volantes de l’Allemagne jusqu’en 1945. La ville s’en sort grandie. En 1958, elle accueille ''l’Exposition internationale et universelle'', entre dans l’Union Européenne et adhère à l’OTAN, en 1967. En 1970, la région flamande, la région wallonne et la région Bruxelles-capitale sont créées. Chacune ayant son propre gouvernement. Bruxelles, contrairement à ses voisines, reste une ville bilingue.

 

Les principaux centres d’intérêt de Bruxelles sont :La Grand-Place, les Galeries royales Saint-Hubert, les Galeries Agora et Bortier, le Passage du Nord, l’Eglise Sainte-Catherine, le Sablon (quartier des antiquaires), le Palais des Beaux-Arts, la Basilique du Sacré-Cœur à Koekelberg, la porte de Hal, sans oublier le célèbre Manneken-pis.