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Chronique 1860

Principaux évènements climatiques de l'année 1860 : Tempête, ouragan, été pourri, crue, inondation

 

 

Du 1er au 6 janvier 1860 est très perturbé avec de fréquentes tempêtes accompagnées de précipitations abondantes. Fortes chutes de neige en montagne entre le 6 et le 7 janvier 1860.

 

 

A partir du 21 janvier 1860 : retour d'un temps extrêmement agité. Une forte tempête balaye la France entre le 24 et le 25 janvier 1860. Une autre tempête (peut-être encore plus virulente) touche le Sud-ouest dans la nuit du 30 au 31 janvier 1860.

La tempête des 24 et 25 janvier 1860

 

La tempête de la nuit du 30 au 31 janvier 1860 dans le Sud-ouest.

 

 

Les 1er, 2 et 3 février 1860 : Temps instable et froid avec de fréquentes averses de neige en plaine.

 

 

Du 10 au 17 février 1860 : Vague de froid avec un pic de froid intense dans la journée du 13 février 1860.

 

L'impressionnante coulée d'air froid continental polaire du 13 février 1860.

 

 

La Tramontane du 27 février 1860 : Les vents atteignent des valeurs records entre Perpignan et Narbonne où un train est renversé. Très violente tempête également en Corse.

 

Violente tempête du 27 février 1860 - Naufrage du Paquebot La Louise à l'entrée du Port de Bastia, lors de l'ouragan de fin février 1860

 

Le puissant courant de nord-ouest à l’origine de cette tempête de tramontane du 27 février 1860 en Roussillon et Corse.

 

 

Du 8 au 11 mars 1860 : Retour en force du froid, exceptionnel pour cette période assez tardive. Le pic est atteint le 9 mars 1860. La neige s'invite par l’Ouest de la France les 11 et 12 mars 1860.

 

La 2eme vague de froid du début mars 1860 - situation du 9 mars 1860.

 

 

Début mars 1860, puis entre décembre 1860 et janvier 1861, le Rhin est en crue et des inondations se produisent en Alsace et notamment à Strasbourg

Crue du Rhin et inondation du village d'Illfurth (Haut-Rhin) - début mars 1860

 

 

24 et 25 mars 1860 : Tempête d'équinoxe, notamment dans l'Ouest du pays.

 

 

Du 19 au 21 avril 1860 : Froid et instable avec de fréquentes giboulées de neige en plaine.

 

 

Du 26 au 29 mai 1860 : Temps épouvantable avec pluie, vent et froid.

 

 

Du 3 au 7 juin 1860 : Nouvel épisode de temps frais, pluvieux et venteux.

 

 

12 juin 1860 : Journée chaude très éphémère...

 

 

Du 14 au 23 juin 1860 : De nouveau très mauvais... Probablement de la neige dés 1000 à 1500 m d'altitude en montagne, notamment Pyrénées.

 

 

30 juin 1860 : Exceptionnelle descente fraiche - neige en montagne (1200 / 1500 m).

 

 

L'été 1860 est maussade et extrêmement frais. Le déficit thermique est très important à Paris puisqu’il atteint 2,1°C. Cet été fut en effet marqué par une activité solaire anormale, se manifestant avec des aurores boréales.

 

Le centre de Paris sous la pluie et le froid de cet été 1860 pourri !

 

 

La première partie du mois de juillet 1860 est tout de même sec et assez chaud.

 

La deuxième partie du mois de juillet 1860 est de nouveau POURRI ! Beaucoup de pluie, de fraîcheur et parfois du vent.

 

Août 1860 est également très mauvais avec un défilé incessant de perturbation pluvieuse (courant d'ouest océanique).

 

Fin août 1860 : vague de chaleur dans le Sud-est.

 

 

Du 3 au 7 septembre 1860 : courant continental froid et sec avec gelées blanches sur de nombreuses régions.

 

 

24 septembre 1860 : Épisode méditerranéen, notamment sur le Languedoc-Roussillon.

 

 

Du 6 au au 10 novembre 1860  : Petite vague de froid continentale - froid sec avec températures probablement comprises entre -5 et -10°C.  Le pic de froid est atteint le 7 novembre 1860.

 

 

Du 25 au 29 novembre 1860  : Épisode méditerranéen.

 

 

Du 4 au 8 décembre 1860 : Nouvel épisode méditerranéen. Très violente tramontane le 9 décembre 1860. Tempête de neige en montagne.

 

 

Du 13 au 24 décembre 1860 : Temps froid et souvent neigeux, notamment sur la moitié Nord. Tempête de neige au nord de la Loire dans la nuit de Noël 1860.  Retour de la neige juste après Noël 1860. Cet épisode de temps très perturbé se termine le 1er janvier 1861 et donne lieu à d'importantes crues de cours d'eau, notamment sur la moitié Nord.

 

 

Photo de Guillaume SECHETHistoire du site Météo Bruxelles

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Notre ville de BRUXELLES

 

Bruxelles est la capitale de la Belgique, de la Communauté flamande, de la Communauté française de Belgique et de la région de Bruxelles-Capitale. C’est aussi le siège de la plupart des institutions de l’Union Européenne (Bruxelles est donc considérée comme la capitale de l’Union), ainsi que de nombreuses organisations internationales, dont l’OTAN.

Sa superficie est de 161 km² pour une altitude de 62 m.

Sa population est d’environ 1.200.000 habitants

 

Le climat de Bruxelles est océanique dominant avec quelques influences continentales. Il pleut en moyenne 130 jours / an avec un cumul de 818 mm et un ensoleillement annuel moyen est de 1684 h.

 

L'histoire de Bruxelles : Notre ville voit le jour au 11è siècle, construite par les Ducs de Brabant. En se développant, la ville devient en 1100, une étape incontournable pour se rendre à Cologne ou à Bruges. Elle est alors agrémentée de faubourgs, de quartiers pour installer tous les artisans de la ville. Bruxelles devient par la suite une ville gouvernée par le Duc Philippe de St Pol, puis par Philippe le Bon qui décide lors de son règne, d’en faire son lieu de résidence. Bruxelles connait un essor économique. Les métiers de luxe et notamment l’orfèvrerie, les métiers du cuir et de la décoration se développent. Sous les Habsbourg et Philippe II, la ville ne perd pas de sa notoriété, mais l’arrivée des Espagnols en 1568 ne ravit pas les habitants de la ville qui se révoltent. Bruxelles devient dès 1695, un champ de Bataille au cours des Guerres menées par Louis XIV. Petit à petit, elle se reconstruit. Des monuments viennent embellir la ville, qui entre 1815 et 1830, devient le lieu de prédilection du Roi des Pays-Bas. La Révolution éclate cette même année et permet à la Belgique de devenir Indépendante. Des travaux de restaurations et de transformations sont entrepris au 20ème siècle. Mais au cours de la Seconde Guerre mondiale, Bruxelles est bombardée et assiégée par les troupes allemandes. Elle n’est libérée qu’en 1944 par les Anglais, mais continue d’être la cible des bombes volantes de l’Allemagne jusqu’en 1945. La ville s’en sort grandie. En 1958, elle accueille ''l’Exposition internationale et universelle'', entre dans l’Union Européenne et adhère à l’OTAN, en 1967. En 1970, la région flamande, la région wallonne et la région Bruxelles-capitale sont créées. Chacune ayant son propre gouvernement. Bruxelles, contrairement à ses voisines, reste une ville bilingue.

 

Les principaux centres d’intérêt de Bruxelles sont :La Grand-Place, les Galeries royales Saint-Hubert, les Galeries Agora et Bortier, le Passage du Nord, l’Eglise Sainte-Catherine, le Sablon (quartier des antiquaires), le Palais des Beaux-Arts, la Basilique du Sacré-Cœur à Koekelberg, la porte de Hal, sans oublier le célèbre Manneken-pis.